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  • Photo du rédacteurRodrigue

Même les gagnants connaissent des échecs

« Meilleur est un homme, plus il commettra d’erreurs, car il essaiera d’accomplir un plus grand nombre de choses nouvelles. Jamais je ne donnerais une promotion au sommet à un homme qui n’a pas fait d’erreurs, car son rendement serait certainement médiocre » Peter Drucker



Savez-vous que de tous ceux qui occupent une position élevée en entreprise ne prennent pas de risques. Contrairement à la croyance populaire, vous pouvez très bien grandir dans votre carrière sans prendre des risques, sans vous exposer, en évitant les projets innovants impliquant les changements, etc. Une telle stratégie est généralement liée à la perception des erreurs.

Les erreurs sont parfois la preuve que vous essayez d’accomplir des choses nouvelles. Elles reflètent une sortie de votre zone de confort pour une route non encore maitrisée. Elles sont la preuve que vous avez pris des risques.


Personnellement, j’ai changé d’attitude depuis que je m’en suis rendu compte de l’intérêt des échecs. Aussi bien pour les échecs que je connais que pour ceux des personnes avec lesquelles je travaille. Au lieu de sanctionner les échecs, je les encourage et je pousse les collaborateurs à prendre des risques.


Les personnes qui réussissent connaissent des échecs en tirent des leçons et ajustent leur position. Ce n’est donc pas l’absence d’échec qui fait d’elles des gagnants, mais leur capacité à tirer des leçons de leurs erreurs et à continuer d’avancer. Prenons l’exemple de Steve Job. Il est l’une des personnes les plus innovantes du dernier siècle et pour autant il a connu plusieurs échecs. Voici quelques-uns des échecs qu’il a connus :

- Engager John Sculley comme CEO d’Apple, non seulement leur vision de l’entreprise était différente et ce dernier finira par faire virer Steve Job d’Apple

- Se tromper de marché pour Next la société de vente d’ordinateur qu’il a lancé après son départ d’Apple

- Lancer des produits qui vont faire un flop : L’Apple Lisa, le Macintosh TV, l’Apple III, ou encore le Powermac G4 Cube

- Admettre Éric Schmidt l’ancien PDG de Google dans son Conseil d’Administration, celui-ci s’est vu attribuer le rôle de membre du conseil d’administration d’Apple pendant 3 ans. Il était trop tard lorsque Éric Schmidt décida de démissionner en raison potentiel conflit d’intérêt entre Apple et Google sur la téléphonie mobile.


Malgré ces échecs ou plutôt grâce à eux, il a été l’un des meilleurs entrepreneurs du monde.




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